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Aspetto la fine della storia.

9 janvier 2010

Et ta connerie, elle est congénitale ?

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On a tous un rêve à réaliser. Petit on veut devenir magicien, pilote d'avoin, policier, vétérinaire, chanteuse, vendeuse, actrice, maitresse d'école, pmpier, super héro.... Puis on se rend compte dix ans plus tard que ce n'est pas pour nous, on a autre chose en tête. En maternelle on s'amuse avec ce qu'on a. Au primaire on joue à papa et maman. Au collège on joue à la cagole et au playboy ratés. Au lycée on joue à cache-cache avec soi même. Les filles cherchent le prince charmant qui n'existe pas. Les garçons eux commencent à prendre de la maturité. Puis il y a les études aussi sans oublier les tentations du lycée à noter: soirées, sexe, alcool, ciné, camping, potes... Mais c'est qu'on en oublie la lecture! Mais quelle honte de négliger un tel art! Vous rendez vous compte! Et en plus de ça au lycée on nous demande de réfléchir, de prendre des décisions, de se bouger le cul pour arriver à quelque chose de passable. On se cherche sans vraiment se trouver. On fantasme sur des choses irréelles. On rêve. On attrape des boutons. On agit sans trop réfléchir. On se pose des questions quelquefois inutiles. On murit. On fait n'importe quoi n'importe quand n'importe où. On ment à nos proches et à soi même. On se fait passer pour quelqu'un qu'on est pas. On a peur. On critique et se fait critiquer en retour. Pourquoi? Pour rien. On n'ose pas dire les choses. On porte un masque qui ne tombera peu être pas, ça dépend des personnes. On se forme. On découvre, on se découvre. On cherche sa place, son style. On veut tout et tout de suite. On pense être aimé de tous et qui sait, peut être est-ce le contraire. On se moque des autres pour un rien ou par jalousie. Nous sommes des adolescents, tout simplement. Un vieux dicton dit que "l'adolescence est un art, tout le monde critique, mais personne ne comprend." On aimerait savoir ce que les autres pensent de nous. On voudrait être aimé de tous. On aimerait être un idéal qui n'existe pas. Et pourtant, on n'a pas l'air comme cela mais, on a le sourire, on est heureux malgré nos différents, nos questions, nos facettes... Un jour peut être notre masque tombera et on réussira notre rêve d'enfance ou d'adolescence.

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9 janvier 2010

Ici, le début de la fin

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Paulille - Enchantée.

Je vis dans une petite utopie qui s'appelle réalité.
Je ne suis pas de celle qui vous fera un coup au coeur des le premier regard ou la fille qui vous fera vous retournez sur votre passage. Non, je ne suis pas tout ça.
J'éprouve réelement ce que je ressens et j'exprime les choses telles que je les vis. J'exagère, en faite un peu trop parfois mais ce n'est qu'une page de ma personnalité. Je ne pourrais jamais vivre sans eux, mes amies, ma famille, la danse. J'essais néanmoins d'envoyer à tous pleins de bonnes ondes.
Je fais souvent preuve d'autodérision. Je suis quelqu'un de passionnée, une artiste (apparemment).
Je peux être super bordelique, être totalement à côté de la plaque, perdre la memoire, mais comme je me fou tout le temps de ma propre gueule ça fait rire. Un vrai petit rayon de soleil me dira t-on.
Comme tout le monde, je me cache derrière un masque, pour cacher de grosses blessures mais je me bat malgré tout! Peu de personnes me connaissent vraiment. Je rêve de voyager, d'aller à New York, au Kenya, au Nepal, en Russie... Je suis une éternelle âme d'enfant. Le soir j'ouvre une petite boite puis, la referme dès le matin. Je ne veux pas et pourtant, je me fond dans la masse, je trouble. Comme tout le monde, je suis un monton, quelqu'un de banal. Je voudrais être unique, pour qu'on ne m'oublit pas et pourtant.
J'ai besoin d'un bon coup de pied au cul pour pouvoir avancer, mais la pression n'a jamais vraiment changée les choses. Je suis une vraie tête de mule, je l'assume. Parfois je peux dire des choses blessantes sans vraiment m'en rendre compte. Je suis comme je suis, et puis c'est tout!

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Aspetto la fine della storia.
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